Pas de franchise à option, pas de modèle d’assurance maladie à choix, pas de réduction des primes pour les enfants et les adolescents : telles seraient les conséquences d’une caisse unique, selon un avis juridique établi par le professeur de droit Ueli Kieser et présenté ce jour. Les incitations à l’épargne s’effaceraient alors que les coûts augmenteraient davantage que ce n’est le cas actuellement, prévient Felix Schneuwly, expert en assurance maladie auprès du comparateur sur Internet comparis.ch. Car aujourd’hui, quatre Suisses sur cinq bénéficient de modèles incitant à opter pour un comportement économe.